Little House on the Prairie
La Petite Maison dans la prairie
Au XIXe siècle, l'histoire d'une famille de fermiers venue s'installer à Plum Creek, dans le Minnesota, non loin du village de Walnut Grove. La série retrace la vie de Laura Ingalls, l'héroïne, depuis son arrivée dans le village jusqu'à sa vie de mère de famille et d'institutrice de Walnut Grove.
| Terminée | Américaine | 60 minutes |
| Drame, Children, Drama, Western | NBC, TF1 | 1974 |
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1.01 -
L'installation
A Harvest of Friends
Charles Ingalls et sa famille arrivent en 1878 dans le village de Walnut Grove dans le Minnesota. Charles obtient un crédit au magasin de monsieur Oleson, en échange de travaux. Après une violente chute, il se retrouve dans l'incapacité de travailler, ce qui va lui poser quelques problèmes...
Diffusion originale : 11 septembre 1974
Diffusion française :
11 septembre 1974
Réalisat.eur.rice.s :
Michael Landon
Scénariste.s :
John Hawkins
Guest.s :
Hal Burton
,
Jack Lilley
,
James Jeter
,
Larry Moran
,
Ramon Bieri
dewey
Bah voilà, ça c'est une vraie série, pas comme cette daube satanique de Game of Thrones.
Une belle histoire au service de personnages attachants, récompensés et punis quand il se doit avec justesse, loin de véhiculer les préceptes immondes des "séries" d'aujourd'hui, vulgaires, moches et racoleuses.
Le tout sur une bande son mélodieuse qui nous emmène tout droit au Paradis. Le Bonheur à l'état brut ...
La série ayant en plus bénéficié d'une restauration resplendissante en qualité Blu Ray, la magnificence de ces paysages naturels (oui, car à l'époque où ils savaient encore faire des séries, il n'y avais pas besoin d'artifices ou de surnaturel à la Game of Daube)' qui ne lui a pas fait prendre une ride, on se demande bien pourquoi tant de gens se complaisent dans le vulgaire et le morbide de cette série nauséabonde qu'est Game of Thrones plutôt que de venir expérimenter ce bain de jouvence revigorant et béni des dieux.
A l'époque aussi le monde allait mal, mais on préférait regarder vers l'espoir et un avenir positif et meilleur au genre humain, plutôt que de se garganiser d'apocalypse, de dark, de méchanceté et de violence.
Dans la moyenne des séries de l'époque, mais assurément un chef d'oeuvre de poésie devant les daubes contemporaines, assurément !